Afin de l'illustrer, Kant prend l'exemple suivant : « Cent thalers réels ne contiennent rien de plus que cent thalers possibles. Nous serons conduits, je le présume, à distinguer Dieu de « Dieu comme il est conçu et perçu par les hommes Â». afin de procurer une maîtrise et un accomplissement dépassant les limites de la réalité objective Â»[20]. Toutefois il parait assuré que Dieu et ses « attributs essentiels Â» ne forment qu'un[70]. Lors de la mutation du monolâtrisme — ou de l'hénotéisme — yahviste vers le début du VIe siècle, le Dieu unique, transcendant, devient « un souverain invisible plus puissant encore Â» et par là frôle l'idolâtrie[pas clair][210]. Dans l'islam, Dieu porte le nom d'Allah et constitue le cœur de la foi et de la pratique des croyants musulmans dont chaque aspect de la vie lui est ainsi relié à travers la religion[93]. Feuerbach voit ainsi la théologie comme une anthropologie renversée et Dieu comme une sorte de surmoi social, relevant de la sociologie des religions ou de la psychologie individuelle ou collective, en aucun cas de la philosophie[173]. Car autrement ce ne serait plus la même chose qui existerait mais quelque chose de plus que ce que j'ai pensé dans le concept, et je ne pourrais plus dire que c'est exactement l'objet de mon concept qui existe. En ce début de XXIe siècle le Credo de Nicée-Constantinople est considéré par les catholiques, une majorité de protestants et les orthodoxes (avec des réserves sur le Saint-Esprit) comme un des fondements du christianisme[84]. Pour la révélation du texte sacré de l'islam, Dieu s'exprime à travers l'ange Gabriel et le prophète Mahomet qui entend la parole divine mais pas sa voix. Comment devons-nous nommer cette réalité transcendante à laquelle nous supposons que la religion constitue la réponse humaine ? Dieu (hérité du latin deus, lui-même issu d'une racine indo-européenne *deiwos, « divinité Â», de la base *dei-, « lueur, briller Â» ; prononciation : .mw-parser-output .prononciation>a{background:url("//upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/8/8a/Loudspeaker.svg/11px-Loudspeaker.svg.png")center left no-repeat;padding-left:15px;font-size:smaller}Écouter) désigne un être ou une force suprême structurant l'univers ; il s'agit selon les croyances soit d'une personne, soit d'un concept philosophique ou religieux. Il se peut que le culte de YHWH ait été prédominant parmi les Hébreux dès le Xe siècle av. Jésus est alors amené au gouverneur romain Ponce Pilate. Si Dieu est souvent représenté comme un homme, cette question est objet de débats, notamment chez les philosophes, voir, par exemple, sous la direction de Jacques Maître, Religion et sexualité[207]. Pour une autre présentation, Mathieu Horeau, The miracle of Theism, argument for and against the existence of God, After Auschwitz : Radical Theology and Contemporary Judaism. Le XVIIIe siècle voit l'apparition d'une nouvelle logique des questions philosophiques, qui amène à l'effacement de Dieu comme le personnage central autour duquel s'articule la métaphysique : la question de son existence et de sa nature est désormais disputée, passant du stade de vérité première à celui d'hypothèse bientôt dispensable[126]. Chez les Juifs, il n’y avait peut-être pas de philosophes, mais cette idée de principe unique, cette intuition que l’on appelle monothéisme, était commune à tous, du plus grand au plus humble, et s’accompagnait de l’interdit de la représentation de la divinité, ce qui, dans un environnement idolâtre, paraissait la chose la plus étrange du monde. dont, entre autres, « la Lumière Â», « le Vengeur Â», « le Très Sage Â», « le Très bien veillant Â», « Celui qui pardonne toujours Â», « Celui qui fait vivre Â», « Celui qui fait mourir Â», Approaching the Dhamma: Buddhist Texts and Practices in South and Southeast Asia. Le texte coranique donne 99 noms différents à Dieu[100] qui sont parfois répartis en deux catégories par la tradition entre ceux qui décrivent un Dieu proche de l'homme ou de la création et, d'autre part, ceux qui soulignent sa transcendance et son incompatibilité avec cette création[101]. ». Ainsi, par exemple, Jean Scot Erigène a pu écrire : « Nous ne savons pas ce qu'est Dieu. C'est un Dieu du raisonnement plutôt qu'un Dieu de foi ou de culte, bien que Kant ait proposé « culte de Dieu Â» ramené à la pratique morale « en esprit et en vérité Â»[124]. Ce dernier processus a pris du temps et les bases de l'athéisme moderne puis contemporain se posent au cours des XVIe et XVIIe siècles[132]. Les philosophes du XVIIIe siècle sont critiques mais pas athées[note 5]. Le christianisme, particulièrement latin - est ainsi le seul des trois monothéismes abrahamiques « qui ait toléré, puis accepté, légitimé, suscité et pratiqué une formidable galerie de portraits du Dieu unique Â»[213]. Certains auteurs juifs n'hésitent pas à nier toute possibilité de « parler Â» de Dieu[156]. Pour y répondre, Isaac Louria a développé la doctrine du tsimtsoum[70]. J.-C.[66], le seul parmi les livres prophétiques bibliques à affirmer cette unicité[67]. Les termes qui désignent Dieu dans les langues germaniques (𐌲𐌿𐌸 Guþ en gotique, Gott en allemand, God en anglais et en néerlandais, Gud dans les langues scandinaves, Guð en islandais) ont une autre origine, elle aussi indo-européenne, liée à la notion d'« appel Â» ou d'« invocation Â»[10]. Le sociologue des religions Yves Lambert, développant une grille d'analyse avancée par Karl Jaspers, a proposé la poursuite de cette approche par la sociologie historique et comparée des religions afin de présenter des clefs d'analyse pour l'appréhension du « fait Â» religieux, sans éluder la singularité de chacun des grands ensembles religieux. Ce que l'homme affirme de Dieu, il l'affirme en vérité de lui-même Â»[172]. J.-C. quand le roi Josias entend faire de YHWH le seul Dieu de Juda et empêcher qu'il ne soit vénéré sous différentes manifestations comme cela semble être le cas à Samarie ou à Teman[51], dans l'idée de faire de Jérusalem le seul lieu saint légitime de la divinité nationale[52]. Non par jeu mais par respect. La représentation de Dieu et la façon de nommer Dieu varient en fonction des époques et des systèmes de croyances. À la fois proche et lointain, humain et impénétrable, Dieu tel qu'il est décrit dans l'islam est — suivant le texte coranique — essentiellement un « mystère Â» (« ghayb Â»[107]) qui ne saurait être ramené ou comparé à rien de semblable dans la création. À la différence de celle-ci, le shinigami n'a pas qu'une représentation stéréotypée. Yahvé revêt alors de multiples formes, fonctions et attributs : il est vénéré comme une divinité de l'orage à travers une statue bovine dans les temples de Béthel et de Samarie[49] alors qu'à Jérusalem, il est plutôt vénéré comme un dieu de type solaire[48]. Ce mot ou cette image ont un aspect "inconscient" plus vaste, qui n'est jamais défini avec précision, ni pleinement expliqué. Elle est l'œuvre des Pères de l'Église, notamment Augustin d'Hippone. La question « comment le monde peut-il exister si Dieu est partout ? Il existe ainsi différents athéismes, variés « dans leurs expressions et dans leurs fondements Â»[129]. Le tribunal juge qu’il est coupable de blasphème et qu’il mérite la mort. Abordée au XIXe siècle, l'étude de l'évolution religieuse de l'humanité est un champ de recherche longtemps délaissé, victime d'une part de conceptions souvent « Ã©volutionnistes Â» sous-tendant la démarche — présupposant un « sens Â» de l'histoire jalonné d'étapes précises, ou fondé sur l'idée de l'accomplissement d’une rationalité immanente — et, paradoxalement, victime de la spécialisation de la recherche au fil de l'accroissement de la connaissance des religions elles-mêmes. Ainsi, contrairement à la plupart des lectures rétrospectives qui en seront faites, lorsque Aristote évoque le divin (to théon), il s'agit d'un « universel abstrait Â», un être primordial, autosuffisant mais qui n'est nullement un « Dieu Â» unique et transcendant au monde[58]. Ce point de doctrine a été rappelé par le pape Jean-Paul II dans l'encyclique Fides et Ratio et plusieurs déclarations[154]. J.-C. —, permettant l'apparition d'innovations culturelles fondamentales — parmi lesquelles l'unicité et l'universalité de Dieu — dans un processus qualifié par Jaspers de « période axiale Â»[18]. Traditionnellement dépourvu de genre, c'est un créateur omnipotent, omniscient et omniprésent qui transcende toute sa création. J.-C.[32]. Dans la langue française, le mot est attesté dès le tout premier texte français[4], les Serments de Strasbourg, en 842 sous les formes Deo au cas régime et Deus au cas sujet[6],[7]. Les recherches de Jung, dans l'alchimie ou la philosophie chinoise, tentent de relier ce qui est universel dans le ressenti de Dieu[195]. Whitehead ne donne aucune définition[note 8] de Dieu. Quelles expiations, quels jeux sacrés serons-nous forcés d'inventer ? Depuis Maimonïde, la tradition théologique hébraïque insiste sur la distinction entre le sens littéral des expressions parlant de Dieu et ses qualités : une manière d'en parler convenablement serait de lui attribuer des œuvres et des actions, et non des intentions ou des émotions car l'essence de Dieu est inconnaissable et dépasse l'entendement humain. Ces archétypes communs (qui constituent l'inconscient collectif), seraient exprimés par chaque religion de façon différente, mais toujours pour exprimer cette même symbolisation. Les déistes ne forment cependant pas un groupe homogène et il existe une grande variété de positions, suivant les auteurs déistes, par rapport à ce qui a trait tant à la nature de Dieu, qu'à la providence ou encore à l'immortalité de l'âme. Son ouvrage a suscité une controverse nourrissant des critiques souvent issues de milieux confessionnels chrétiens[200] tandis que certains estiment que les publications de Dawkins ouvrent l'ère d'un fondamentalisme athée[201]. Je parlerai donc de Dieu dans ce qui suit, avec cette restriction importante que c'est une question ouverte de savoir, à ce moment du propos, si Dieu est personnel. La Justice, la Bonne Pensée, la Puissance, la Piété, l'Intégrité et l'Immortalité. Arrivés au terme nous serons totalement muets et entièrement unis à l'Indicible. Philippe Hoffmann, « Y a-t-il un monothéisme philosophique dans l'Antiquité ? Personne d'ailleurs ne peut espérer le faire. La seconde[36] y voit le fruit de l'évolution religieuse d'un culte assez proche du védisme, en réformant les dérives ritualistes et sacrificielles mais conservant sa nature polythéiste[41] ; toutefois, cette dernière position peut admettre un processus de monothéisation allant de pair avec un processus de théogenèse qui continue de peupler le panthéon de divinités nouvelles[39]. À côté du renouveau de la philosophie thomiste (le néothomisme) il s'est développé au tout début du XXe siècle une métaphysique contemporaine qui tient compte du progrès scientifique tel que le représentent la physique quantique, les théories de l'évolution, la psychanalyse[réf. Sur les attributs féminins du Dieu judaïque, voir Thomas Römer, Dieu obscur : le sexe, la cruauté et la violence dans l'Ancien Testament[206]. Bienvenue sur la fanpage de Jacquie et Michel ! Des auteurs tels que Peter Geach, Richard Swinburne[159], Alvin Plantinga, Antony Flew, John Leslie Mackie[160], et Jordan Howard Sobel se demandent quelles raisons nous avons d'affirmer ou de contester l'existence d'un être surnaturel dont dépendrait l'existence du monde. Juda Halevi apporte une réponse négative, affirmant que les preuves logiques ne permettent pas d'aboutir au Dieu d'Abraham, seule une « communication immédiate Â», une « Révélation divine Â» le permet[70]. Carl Gustav Jung, pour qui un symbole est quelque chose qui « renvoie toujours à un contenu plus vaste que son sens immédiat et évident Â»[193], dit de Dieu qu'il est « le symbole des symboles Â»[194]. La notion de Dieu revêt un considérable impact culturel, notamment dans la musique, la littérature, le cinéma, la peinture, et plus généralement dans les arts. Selon la plupart des linguistes, cette origine viendrait du radical indo-européen reconstitué *, Ce terme que l'on trouve dans la poésie arabe préislamique semble alors désigner un dieu impersonnel. Certains auteurs estiment même que Dieu est si grand qu'il échappe à toute tentative de définition par des mots humains[16]. Il existe une cause ultime ou cause première qui n'est causée par rien et que l'on peut appeler Dieu. Explicitant Stephen Hawking et la notion d'« esprit de Dieu Â» qu'il rapproche de la conception d'Albert Einstein, Dawkins voit le terme comme une métaphore, une manière poétique d'exprimer un état ou un moment où les physiciens auraient unifié leurs théories et auraient l'explication et la compréhension de tout. Les divinités suivantes, bien qu'associées à la Mort, ne sont pas appelées shinigami : Des personnages variés ont été nommés shinigami dans la culture populaire japonaise. Gautama Bouddha a rejeté l'existence d'un dieu créateur[108], a refusé d'approuver de nombreux points de vue sur la création[109], et a déclaré que les questions sur l'origine du monde ne sont pas en fin de compte utiles pour mettre fin à la souffrance. Pour cette religion, le Dieu unique est créateur du monde[111], tout puissant[112], transcendant et immanent[111], infini et éternel[112], sans forme[111],[112], juste et plein d'amour[111]. Plotin (207-270) promeut l'idée du « Un Â» (en grec : to en), un principe premier transcendant qui domine la réalité[58] et qui n'est connaissable qu'au travers de ses attributs. La seule chose qu'on puisse vraiment dire sur Dieu, c'est rien. Celui-ci, dont dérive le terme mazdéisme, est le dieu unique et créateur qui se révèle à Zoroastre et dont le règne doit s'établir à l'issue de la lutte dualiste entre le Bien et le Mal, personnifiés par deux agents divins jumeaux créés par Ahura Mazda qui est assisté par six « Immortels bienfaisants Â», six Entités[40] qu'il a suscitées pour aider l'homme à faire le bien[32]. Ce que le monde a possédé jusqu'à présent de plus sacré et de plus puissant a perdu son sang sous notre couteau. Le Coran rapporte en outre des descriptions ou attributs anthropomorphiques de Dieu dont la portée sera disputée dès le début de l'islam[101] : le Coran mentionne sa face[102], ses yeux[103], ses mains[104] ou encore le trône sur lequel il siège[105]. — Pseudo-Denys l'Aréopagite, De la théologie mystique. voir par exemple Jean Kellens, « Le mazdéisme Â», in Frédéric Lenoir et Ysé Tardan-Masquelier (dirs.). Théologie négative radicale. Ce n'est plus l'homme qui dépend du divin mais le divin qui dépend de l'homme[171] : « le progrès historique des religions consiste en ceci : ce qui dans la religion plus ancienne valait comme objectif, est reconnu comme subjectif, c'est-à-dire, ce qui était contemplé et adoré comme Dieu, est à présent reconnu comme humain […]. « Dieu en cent pages. On trouve ensuite Deu et Dieu aux XIe et XIIe siècles[4]. Pour Mireille Hadas-Lebel, l'idée du Dieu unique, à la fois créateur, miséricordieux et tout-puissant, s'est faite au terme d'une lente évolution dans le cas du monothéisme juif, qui était au contact de cultures et d'empires polythéistes[30]. Une section entière de l'encyclique, intitulée « La constante nouveauté de la pensée de Thomas d'Aquin Â», est dédiée à la pensée de ce dernier. Pour Goulven Madec, Blaise Pascal dans son Mémorial instaure une césure quasi définitive entre le Dieu des philosophes et le Dieu de la Bible en opposant nettement les deux: « Dieu d'Abraham, Dieu d'Isaac, Dieu de Jacob, non des philosophes et des savants Â»[74]. La plupart des philosophes de cette époque ne sont pas athées : par exemple. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Le concept se développe essentiellement en Angleterre et en France à partir du XVIIe siècle, mais est difficile d'accès et ambigu, car il réfère à plusieurs systèmes distincts[121]. On en vient donc à ne pas le représenter, même au moyen d'un objet ou d'un symbole. Considéré comme un nom propre, le nom « Dieu Â» prend alors une majuscule[8] ainsi que les métonymies ou les pronoms qui s'y substituent[9]. À la différence de celle-ci, le shinigami n'a pas qu'une représentation stéréotypée. Il a fini par considérer, autour de sa 81e année, que non seulement la question de l'existence de Dieu était importante mais encore que l'existence de Dieu[161] était possible selon une variante de l'argument téléologique, que les Anglo-Saxons nomment fine tuning[note 3], en quelque sorte, l'argument du meilleur des mondes possibles[162]. Néanmoins la querelle continue ce qui amène les pères cappadociens Basile de Césarée, Grégoire de Nysse et Grégoire de Nazianze à élaborer la théologie de la Trinité qui veut qu'il y ait un Dieu en trois personnes : le Père, le Fils et le Saint-Esprit pour reprendre la traduction qu'Augustin d'Hippone a fait du grec[83]. Dans le judaïsme, la question ne se pose pas, non par tabou mais du fait même de la conception de la transcendance : Dieu dépasse totalement l'entendement humain. Dès le Xe siècle, le théologien sunnite Al Ash'ari considère qu'avec la puissance, la science, la vie, la volonté, la vue, l'ouïe et la durée, cette parole fait partie des éléments anthropomorphiques attributs de l'essence divine là où les premiers mutazilites ne voyaient que des métaphores[106]. Devant la cour suprême juive, Jésus déclare être le Fils de Dieu. Les philosophes ont conçu la divinité de manières très diverses. Ce courant de pensée n'est, d'ailleurs, étranger ni à l'islam[168] ni au judaïsme[169]. Certaines religions demandent ou édictent qu'on ne prononce jamais son nom hors d'un contexte rituel et sacré[note 1]. À l'argument qu'on lui oppose de n'être pas suffisamment formé dans les matières qu'il critique, il explique qu'il n'est pas besoin d'étudier la théologie pastafarienne pour ne pas croire au Monstre en Spaghettis volant ni d'être dépositaire d'une particulière érudition pour désavouer les contes de fée ou l'astrologie[199]. Le Coran affirme également le caractère absolument transcendant de Dieu qui est pourtant tout à la fois d'une grande proximité avec l'homme[95] et sa création dans et par laquelle il se manifeste[93]. While religion proceeds on the assumption that God exists, metaphysics takes great pains to examine rational arguments for the existence of God. Il est mis en scène dans de nombreuses fictions japonaises. De la même racine est issue la désignation de la lumière du jour (diurne) et du jour, lui-même (dies en latin)[5].